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Interview de Fabien de banquesenligne.org

Interview de Fabien de banquesenligne.org

La banque en ligne arrive chez nous, ce n’est plus un secret ! On peut aussi la trouver sous le nom de banque internet ou encore de cyberbanque mais le résultat reste toujours le même. Une banque en ligne c’est une banque (comme une banque traditionnelle), à la différence que celle-ci a choisie de tout dématérialisée. Ainsi la banque internet va pouvoir faire des économies sur de nombreux frais que les établissements bancaires peuvent avoir. On parle ici de tout ce qui est papeterie, mais aussi et bien sûr des locaux et de la masse salariale.

Alors on a voulu en savoir plus. Pour cela, nous avons fait appel à Fabien du site banquesenligne.org.

La banque en ligne selon toi, comment est ce que tu la définirait ? 

Pour moi si je devais dire un seul mot ce serait : futur. La banque en ligne existe depuis plus de 20 ans c’est vrai mais cela ne fait que depuis 3 ou 4 ans que son offre commence a vraiment valoir le coût. De plus nous sommes dans un contexte qui le demande ! Plus nous avanceront dans le temps et plus les gens seront à l’aise avec le numérique !

Quels sont les clients de la banque en ligne selon toi ?

Il est vrai que : à l’origine, la banque en ligne était seulement réservée aux plus riches et les conditions d’accès étaient draconiennes. Mais aujourd’hui ce n’est plus le cas. Certaines banques internet comme Monabanq n’hésites d’ailleurs pas à en jouer via leur campagne de publicité. “Bienvenue à ceux qu’on ne voit jamais dans les publicités pour les banques”.

A l’inverse qui sont les moins concernés ?

Je pense que cela rejoins un peu le point ci-dessus. Les personnes les plus âgées auront potentiellement plus de chances de rester dans les banque traditionnelles. Pour beaucoup, quand je leur pose la question, ils me répondent qu’ils ont connu que ça toute leur vie et ne sont pas à l’aise avec le numérique. De plus c’est triste mais beaucoup disent que de toute manière leur vie est derrière elles et qu’il ne sert plus à rien d’en changer maintenant,